Au cours des siècles suivants, le nom de la ville apparaît dans les sources françaises comme Villejuifve, ce qui également correspond à l'orthographe archaïque de l'expression « ville juive »[33]. La ville est marquée par une forte continuité politique entre 1925 et 2014 : sauf pendant la période de la Seconde Guerre mondiale, elle était administrée par des municipalités à direction communiste. Elle se trouve à 8 kilomètres du centre de Paris (Notre-Dame) et son point le plus au nord se trouve à 1,5 kilomètre de la porte d'Italie[1]. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes. Les terres sont alors principalement la propriété d'institutions religieuses (chapitre de Notre-Dame de Paris, Saint-Pierre de Jumièges…), sur lesquels travaillent leurs serfs : il s'agit principalement de vignes sur les coteaux à l'est et de champs de céréales sur le plateau[hbp 1]. Vidal), et d'une recomposition de la majorité du maire autour de la droite, du centre et d'une partie de la gauche. Le revenu net imposable moyen par foyer fiscal à Villejuif était, en 2005, de 16 161 € par an, en dessous de la moyenne nationale et très en dessous des moyennes départementale et régionale. À son retour il réintègre l’entreprise où il va faire toute sa carrière jusqu’à sa préretraite en 1994. La communauté copte orthodoxe dispose d'un lieu de culte : l'église Archange-Michel-et-Saint Georges. La ville n'est pas mentionnée dans les sources rabbiniques connues en provenance de la France médiévale; cf. Au cours du XXe siècle, plusieurs hypothèses étymologiques alternatives ont été proposées. Au second tour, la liste PCF-G.s-GC menée par Pierre Garzon — et qui bénéficiait de la fusion des listes du premer tour menées par Natalie Gandais (EÉLV-GE-PA) et Alain Weber (PS-PRG-MRC-GRS-PP-ND) — a obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 6 196 voix (51,89 %, 34 conseillers municipaux élus dont 1 conseiller métropolitain), devançant de 452 voix la liste SL-UDI menée par le maire sortant Franck Le Bohellec, qui a obtenu 5 744 voix (48,10 %, 11 conseillers municipaux élus). Ces résultats sont contestés par le maire sortant Franck Le Bohellec,dont la liste a été battue par 452 voix d'écarts par la liste menée par Pierre Garzon, alléguant de « nombreuses irrégularités constatées durant la campagne électorale mais également lors des opérations électorales[71] »[72]. D'autres fouilles, rues Romain-Rolland et du Colonel-Marchand ont conclu à la présence probable d'un bâtiment antique à proximité[42]. Inventaire général de la Région Île-de-France. Des questions politiques et des problèmes entre personnes vont amener cette majorité à se déliter : la première adjointe (N. Gandais, EELV) est exclue de l'exécutif en février 2016, ce qui provoque le départ du groupe EELV de la majorité municipale[67], bientôt suivie d'une partie de la gauche (Ph. Le village reste majoritairement constitué de paysans pauvres, qui louent leurs terres, où les locataires interdisent l'élevage. »). Il est suivi par la Cour sur un de ses arguments: « le jour du scrutin, des agents de la mairie avait établi des listes permettant de connaître en cours de journée les électeurs qui avaient snobé l'isoloir. Il connaîtra une nouvelle phase de développement au XVIe siècle : l'église est reconstruite, des bâtiments apparaissent autour de la route royale (actuelle rue Jean-Jaurès), une école est ouverte, des artisans s'installent… Les ordres religieux vendent une partie de leurs terres, tandis que les seigneurs agrandissent leur domaine[ncvj 5]. À la fin du XIXe siècle, un tram relie Villejuif à la porte d'Italie et, au-delà, à Châtelet : Villejuif n'est plus isolée mais devient une banlieue de Paris, aisément accessible. Elle relié autrefois Laplace RER à Villejuif Louis-Aragon en passant par l'institut Gustave-Roussy. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. La ville s'étend sur 534 hectares, avec environ 2 kilomètres d'est en ouest et 3 kilomètres du nord au sud. Malgré les demandes de la municipalité depuis l'avant-guerre[11], le prolongement de la ligne 7 du métro (branche bleue) ne sera réalisé que le 28 février 1985[12].